Après une première période calme, la première utilisation de l’arbitrage vidéo pour un match de l’équipe de France a été décisive.
Tout d’abord avec un but refusé par la vidéo à Antoine Griezmann alors qu’il avait été validé par le trio arbitral. Ensuite, avec le but refusé à Deulofeu puis validé par l’arbitre vidéo. Deux situations qui ont défavorisé l’équipe de France contre l’Espagne, mais ce n’est bien évidemment pas le sujet du débat. A 15 mois de la Coupe du monde en Russie où il pourrait faire son entrée, l’arbitrage vidéo a su rectifier deux erreurs des arbitres, mais a aussi médusé le public présent au Stade, qui n’a bien compris ce qu’il se passait.
Peu après la rencontre, les avis divergeaient franchement sur son utilisation, même si en ce qui concerne le match de ce mardi, il s’agissait de deux cas d’école. Reste à savoir comment cela évoluera avec le temps, si les joueurs et le public l’assimileront, et surtout comment seront gérés des cas plus techniques, comme les pénaltys, l’antijeu, ou les retours sur des actions précédentes, sans parler de celles qui auront été interrompues à tort par les arbitres. Bref, un vaste débat qui risque de perdurer.
Et si la vidéo déshumanisait le jeu et déresponsabilisait les arbitres et leurs assistants ? #FRAESP
— DERRIEN (@BRUNODERRIEN) 28 mars 2017
Et si la vidéo changeait les comportements ds joueurs et ds coachs?Moins d'excuses, moins de tricheries, + de jeu! Pourquoi ne pas essayer? https://t.co/CGkvJxazV2
— Eric Carrière (@carriere_eric) 28 mars 2017
La video a permis d eviter des injustices. Malheureusement cette fois-ci c etait en defaveur de l'@equipedefrance
— Rolland Courbis (@rollcourbis) 28 mars 2017
Pour ou contre la video @FIFAcom pour le Match @equipedefrance contre @SeFutbol ? ?difficile !!!!!
— Marcel Desailly (@marceldesailly) 28 mars 2017