Jeune frère d’Alou Diarra, Zanké Diarra a brillé la saison passée en Coupe de France avec Quevilly, formation qui avait sorti Rennes, puis l’OM, avant d’échouer en finale devant l’Olympique Lyonnais (1-0). A cette occasion, le milieu de terrain du club haut-normand, comme d’autres joueurs des deux équipes, a subi un contrôle antidopage qui, selon RMC, s’est avéré positif aux corticoïdes. Après avoir été reçu par la commission d’appel de la FFF, Diarra a été informé de sa suspension pour un an. Il tient à se défendre de ces accusations de dopage, affirmant qu’il se soignait en accord avec le médecin du club.
« Quand je suis revenu de mes vacances, j’ai trouvé un courrier dans ma boite aux lettres. Je ne comprends pas. Je n’ai rien pris d’anormal. J’étais enrhumé et j’avais une micro déchirure avant la finale. C’est le docteur du club qui m’a donné les médicaments. Je ne sais même pas ce que j’ai pris. J’ai confiance. Je pense que cette décision va être rectifiée. J’ai décidé de faire appel, c’est un malentendu. J’espère que cette histoire va vite se terminer », a indiqué, sur RMC, Zanké Diarra, qui espère donc faire infléchir cette sanction.