Une nouvelle fois, l’AJA s’est montrée incapable de marquer mardi soir à Vannes, et quitte la Coupe de la Ligue par la petite porte.
Pour Jean Fernandez, cela ne fait aucun doute, le problème actuel des Bourguignon se porte sur l’efficacité offensive. Pour le reste, l’entraîneur icaunais estime avoir fait jeu égal avec une formation vannetaise difficile à prendre dans son fief de la Rabine. « La victoire de Vannes est logique. On a joué contre une bonne équipe de L2, forte à domicile qui plus est. Ca ne s'est pas joué à grand chose car on a l'opportunité de mener. Mais sur l'ouverture du score, on manque un peu de concentration. Défensivement, on était bien en place, mais offensivement cela fait quelques matches qu'on ne marque pas. Ca commence à faire beaucoup. Qu'on n'y arrive pas contre Lyon ou Bordeaux, je comprends mais, avec tout le respect que j'ai pour Vannes, avec toutes les occasions que l'on a contre eux, on doit arriver à inscrire un but. Le contexte était un peu difficile mais j'ai senti de l'envie dans mon équipe. Ils ne nous ont pas laissé d'espaces et ont été bons dans les duels. C'était un match piège mais on le savait dès le tirage », a expliqué Jean Fernandez, qui pourra seulement se consoler en se disant que Valenciennes avait déjà subi le même sort au tour précédent.