Après le départ de José Mourinho, Chelsea devra se reconstruire sur de nouvelles bases. Pas forcément une bonne nouvelle pour le Paris Saint-Germain.
Rien ne va plus à Chelsea. A un point de la zone de relégation en Premier League, le club londonien s’est séparé de José Mourinho par consentement mutuel. Et n’a plus que quelques heures avant la réception de Sunderland samedi (16h) pour trouver son nouveau manager, lequel aura la lourde tâche de remobiliser un groupe en manque de confiance. Une aubaine pour le Paris Saint-Germain, futur adversaire des Blues en huitièmes de finale de la Ligue des Champions ? Eh bien pas du tout, estime Pierre Ménès. Au contraire !
« Du coup, avec tous ces événements, on pourrait se dire que le match semble être du gâteau pour le PSG. Si la double confrontation avait lieu dans deux semaines, la réponse serait certainement oui. Mais il va falloir attendre deux mois pour que les deux clubs se retrouvent. Deux mois, c’est très long, a prévenu le chroniqueur de Direct Matin. Et le départ de Mourinho va remettre tous les compteurs à zéro et agir comme une délivrance sur l’effectif des Blues. Ce qui n’est pas une bonne nouvelle pour Paris. » En effet, l’une des principales causes des difficultés de Chelsea concernait les tensions entre les joueurs et Mourinho. « The Special One » parti, les coéquipiers d’Eden Hazard pourraient vite retrouver leurs sensations.