D'après les dires de Pierre Ménès, Unai Emery a été moins critiqué que Laurent Blanc lors des périodes de crise au Paris Saint-Germain.
« Unai Emery va rester à 200 % c'est sûr. Il est content ici, on est content de lui, il va travailler ici ». Conforté dans ses fonctions par Nasser Al-Khelaïfi samedi, après la victoire parisienne en finale de la Coupe de France contre Angers (0-1), l'entraîneur espagnol n'en sera pas moins attendu au tournant. Cet été lors du mercato, mais aussi et surtout sur le terrain, la saison prochaine. Quoi qu'il en soit, Emery sort d'une première saison pénible à la tête du PSG. Mais pas tant que cela finalement selon Pierre Ménès, qui estime même que les blâmeurs ont été indulgents avec le technicien basque après l’humiliation contre le Barça en Ligue des Champions (6-1). Plus qu'avec Laurent Blanc, qui avait subi les foudres après son pari tactique raté contre Manchester City en 2016 lors d'une sortie en quarts de finale de la C1.
« J'attends beaucoup plus d’une équipe à 500 patates. Bizarrement, on a beaucoup plus parlé de cette défaite à City alors que le PSG joue sans David Luiz, Matuidi, Verratti et Motta au bout de 28 minutes de jeu. Blanc a été beaucoup plus critiqué après City qu’Emery après le Barça », a lancé, sur Twitter, le journaliste de Canal+, qui avoue donc qu'Emery a évité le pire cette saison à Paris. Pas sûr que l'entraîneur espagnol soit de cet avis...
@thierry36700 @B_Roger_Grand @sebnoa51100 @Lolo_Milko @d_mayd31 @UnaiEmery_ Blanc a été bcp plus critiqué après city que Emery après Barça. Twitter Riolo ...
— Pierre Ménès (@PierreMenes) 29 mai 2017