L'entraîneur de Fenerbahçe ne craint pas pour son avenir malgré le début de saison laborieux du club stambouliote.
Avec trois défaites en cinq journées de championnat et un point décroché sur six possibles en Ligue des champions, Luis Aragones commence à sentir la pression sur le banc de Fenerbahçe. Ce qui ne semblait pas effrayer l’ex-sélectionneur espagnol après le match nul concédé à domicile face au Dynamo Kiev (0-0), mardi soir. « Je ne peux être content de ce résultat. Fenerbahçe méritait de gagner sur le plan du jeu et des occasions. On a dominé dès la première minute. C’est le chemin à suivre pour la suite... J’ai les épaules larges. Je connais parfaitement la pression pour l’avoir vécue dans mon pays. Cela ne me préoccupe pas », a déclaré le « Sage d’Hortaleza » avant de rendre coup pour coup aux journalistes turcs. « Je suis un professionnel. C’est facile pour vous de parler de football… mais moi je ne parle pas jamais du journalisme », a conclu l’Espagnol dans un sourire.